Une bonne position dans son kayak représente une garantie non seulement d'efficacité, mais de sécurité et de confort.
Tronc/bassin un couple très libre.
Dissocier le tronc du bassin présente de nombreux avantages pour la gîte, le travail des appuis et l'esquimautage. Le haut du corps s'occupe de la propulsion et le bas tient le bateau sur sa tranche ce qui lui donne plus de maniabilité.
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Brève approximative
Projet de loi concernant la couleur des kayaks de mer.
Un groupe de députés toutes tendances confondues devant l’ampleur des accidents impliquant kayakistes et paquebots de croisière, a déposé un projet de loi visant à imposer une couleur unique — jaune fluo — et un marquage «kayak» le tout doublé par un mât de 2,25 m permettant d’accrocher un drapeau d’un minimum de 1 m2. Espérons que cette mesure de bon sens sera vite imposée à cette catégorie de la population inconsciente des risques encourus.
En kayak, prenons les bonnes postures
Une assurance d'efficacité et de confort
Un buste rotatif
Un moyen simple d'augmenter la puissance de son pagayage et de moins solliciter
ses bras et ses épaules et de faire participer tout le tronc. Abdominaux et muscles du dos
ne demandent qu'à participer activement.
Une légère rotation du buste met tout ce joli monde
en action, résultat on avance plus vite et l'on se fatigue moins.
• Pagayer, les conseils d'un pro >>>
Faire bloc avec son kayak
Afin de mieux contrôler* son kayak et d'optimiser son coup de pagaie, on se servira
du siège 1, des mousses de calage 2, des repose-pieds — cale-pieds 3
afin de créer une tension harmonieuse.
Utile pour gîter, indispensable pendant un esquimautage et par mauvaise mer.
Cette tension ne pouvant être permanente, elle sera modifiée grâce aux réglages
des cale-pieds.
• Tableau comparatif des types de pagaies >>>
* L'analogie avec la conduite d'une moto est évidente, les contacts : guidon, selle, flancs de réservoir et repose-pieds transmettent bon nombre d'informations au motard.
Là où il y a de la gîte, il y a du plaisir
• Gîter pour virer plus court.
Voilà une technique bien utile, en effet pencher son kayak grâce à un report de son corps
(genoux, fesses) tout en dissociant son buste, permet de changer considérablement la zone de
contact avec l'eau (l'empreinte du bateau).
De ce fait, cette zone est plus petite et donne une manœuvrabilité accrue. La pagaie au contact de l'eau servira de point de rotation de référence. On change en quelque sorte les rapports physiques de tous les éléments en présence.
• Gîter pour s'opposer à une vague de travers.
En vous penchant du côté de la vague qui déferle,
vous éviterez d'être renversé sans ménagement par celle-ci.
Tout ceci est bien facile à dire — écrire —, mais avec un peu d'entraînement et les conseils des "anciens", cela deviendra un des nombreux automatismes qui permettent une navigation sereine et ludique. Vous plantez votre pagaie dans l'écume tel un chevalier avec sa lance terrassant le dragon !
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