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Plusieurs fabricants proposent des modèles soit résistants uniquement aux éclaboussures soit carrément étanches avec ou sans caisson (jusqu’à 60 mètres).
Ici, l’on touche à l’extraordinaire, puisque certains proposent non seulement plusieurs formats vidéo dont le HD, mais aussi des fonctions : appareil photo (jusqu’à 12 Mp*), timelapse* et prise de vue en rafale* ainsi qu'une prise de son.
Une palette d’accessoires est pour tous, proposée, elle permet de choisir
les fixations — adhésives, ou mécaniques et les compléments de chargement — sur port USB,
allume-cigare ou secteur.
Le kayakiste est souvent un bricoleur et il ne manquera pas de créer
ou d’adapter des systèmes ingénieux pour servir au mieux ses prises de vues.
Il est à noter que le montage d'origine d’une optique grand-angle permet de filmer l’ensemble de la scène sans trop se préoccuper du cadrage, 360° avec le nouveau Nikon. Le revers de la médaille consiste bien sûr dans la déformation des verticales, ce qui destine ce type de matériel à des prises de vues spécifiques.
Des liens pour en savoir plus et partager :
Filmer en caméra embarquée avec son smartphone est maintenant possible en se procurant un kit composé d'un boîtier étanche, d'un système de fixation et d'une application. Reste l'objectif qui n'est pas grand-angle à l'origine et la fonction marche/arrêt peu commode.
Un pixel désigne un point correspondant à la plus petite unité que peut afficher un écran. Si le nombre de pixels constitue un élément de réflexion, il ne doit en aucun cas être le seul, la qualité et les performances du capteur dépasse et de loin ce premier critère.
Remplaçant de la pellicule, c'est lui qui capte la lumière grâce à ses cellules, la transforme en image. Plus le capteur est grand plus l'image contient un nombre de pixels important. Les tailles vont de 24 x 36 dit : "plein format" à 1/2,5".
La stabilisation, qualité essentielle pour un photographe-kayakiste peut s'exercer soit à partir de l'objectif, soit être obtenue par le boîtier lui-même sur quatre voire cinq axes.
Programme permettant de prendre une photo à un intervalle de temps déterminé : 0,5 seconde à 10 secondes par exemple. Ainsi l’on peut reconstituer une scène (montage d’un kayak pliant, marée, rassemblement de foules...) en accéléré avec un fichier plus léger qu’une vidéo classique.
Technique et programme qu’offrent certains appareils photo et qui permet d’effectuer plusieurs prises de vues d’une même scène avec des réglages différents (vitesse, ouverture). Option très intéressante lorsqu’on veut être sûr de faire au moins un bon cliché dans des circonstances difficiles.
Possibilité de prendre plusieurs photos en une seconde.
Il ne faut pas lésiner sur la qualité et les performances de la carte mémoire
que l’on choisira, notamment si l’on veut filmer en HD.
il est judicieux de comparer les prix ;
ces derniers peuvent aller du simple au double pour une même marque selon les distributeurs.
Recommandée : carte SDHC 16 ou 32 Go.
Windows Movie Maker et iMovie pour les Mac permettent de très honorables montages, des modules façon bande-annonce sont tout prêts à mettre en valeur vos images. Adobe avec Première Elements propose une version amateur de son célèbre logiciel. Pinnacle Studio, Avid Studio, Corel VideoStudio complètent cette liste non exhaustive. Chacun trouvera son bonheur. Outre le temps nécessaire à l'acquisition des bases nécessaires, un écueil est à éviter : l'utilisation intensive et systématique des effets visuels et sonores mis à notre disposition.
Notre conseil : court et simple, il n'y a rien de mieux.
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