Les procédés de fabrication sont plus ou moins les mêmes, y compris ceux qui introduisent des matériaux high-tech, kevlar et des systèmes de mise en pression permettant une meilleure cohésion des éléments mis en présence.
Le moule — la forme — issu d’un dessin souvent réalisé par un architecte de marine est garni de fibres et de résine. Certaines entreprises utilisent une technique de construction sous vide pour une meilleure répartition de la résine.
Souvent, les fabricants >>>
proposent de nombreuses options : couleur(s) et vernis,
trappes, taille d’hiloire, voile(s), pompe, protection de coque,
gouvernail, dérive...
En France d’excellents produits sont proposés, directement concurrencés par ceux du Royaume-Uni,
d’Allemagne, d’Italie, du Portugal, d'Europe du nord et depuis peu de Corée du sud et de Chine Populaire.
Quant aux États-Unis et au Canada on compte de très belles productions cependant pas ou peu importées en Europe.
L’avenir passera par une utilisation de matériaux de construction recyclables ou biodégradables, Plasmor à Vannes est porteur du projet NavEcoMat (le projet rassemble l’UBS, l’IFREMER, Catherine Chabaud, Groupe Finot et Ahlstrom) qui propose la conception d’un matériau biocomposite haute performance, constitué d’un support en fibre végétale et d’une matrice ou liant biodégradable, compatible avec les contraintes de fabrication et d’utilisation des petites unités de plaisance.
• Kayaks rigides en fibre
• Kayaks rigides en polyéthylène
• Kayaks démontables
• Kayaks en bois
• Kayaks traditionnels
• Kayaks gonflables
• Kayaks à voile
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