78,32 % des statistiques s'appuient sur des éléments totalement faux, et seulement 12,21 % des personnes en sont conscientes.
Évidemment de nombreux critères sont à prendre en compte, s’ils varient légèrement en fonction du type de bateau,
il n’en demeure pas moins qu’un dialogue constructif et franc entre vendeur et acheteur doit s’établir.
Le vendeur-kayakiste expérimenté ira vers un produit plus "pointu", et
le débutant sera tout heureux de posséder un bateau qui ne craindra
pas ses erreurs de navigation. Et, celui qui cesse cette activité sera heureux que son bateau continue à voguer.
La première est toute simple : le vendeur est-il le propriétaire ?
Facture ou déclaration de vente —précédente —, immatriculation éventuelle.
Vérifiez la catégorie dans laquelle votre kayak est enregistré
vis-à-vis des Affaires maritimes, cependant ne soyez pas obnubilé par cet aspect des choses,
et posez-vous les bonnes questions :
- Dépasserai-je la bande des 300 mètres ? >>>
- Pour commencer n’est-ce pas suffisant ?
- Mes balades seront-elles côtières ou lointaines ?
Cet élément n’est pas si déterminant, vous pouvez voir un kayak de 10 ans ou plus, qui est très peu sorti et a été bien entreposé, et un autre d’un an qui a vécu une vie de baroudeur tatoué et balafré.
Reste que le marché est sain, car composé de personnes qui partagent beaucoup de vos idéaux, et de vos rêves. Même si quelques vols sont signalés, cela est à la marge — pas pour les victimes évidemment.
Pour un kayak en fibre >>> repérez les éclats éventuels sur le gel-coat dus à un mauvais stockage ou transport, les jointures de coque, de caissons et la liaison hiloire pont. Des réparations éventuelles peuvent être considérées comme tout à fait normales, après tout, ce bateau a vécu.
Le kayak démontable >>> offre l’avantage de pouvoir être contrôlé dans ses deux configurations. Comme pour les précédents, l’état de la coque (peau) est déterminant. Il n'est pas inutile de vérifier l’étanchéité des boudins gonflables latéraux, bien qu’il soit rare que ceux-ci soient endommagés, car situés à l'intérieur.
Le kayak polyéthylène >>>
n'est pas particulièrement chouchouté, son stockage est souvent un peu négligé.
En trouver un défraîchi — état de surface, couleur — ne veut pas dire qu’il soit à rejeter cependant.
Pour le kayak gonflable >>>
il est évident qu’une inspection du bateau en pression,
sous toutes ses coutures — soudures —, est nécessaire.
Là aussi, des réparations peuvent avoir été réalisées, demandez dans quelles conditions.
Ils s’ajoutent naturellement à la cote de base et ne sont pas à négliger. Une pompe, une boussole, un gouvernail, des trappes, une dérive, une finition spécifique, chariot de transport, voile, une jupe idoine sont de véritables plus.
En général, on calcule sur la base de 50 à 60 % du prix du neuf.
Une bonne affaire pour tous.
Il n'y a pas de cote en ce qui concerne les kayaks et leurs cousins, trop de modèles en nombre limité et trop
de variantes possibles, nombre d'années non déterminant. Pour vous aider, vous trouverez dans la page suivante
un tableau comparatif >>>
par type qui pourra servir à établir un juste prix.
N’oubliez pas que les fabricants et distributeurs proposent des bateaux
d’occasion ou de démonstration tout au long de l’année, une opportunité
à prendre en compte sans aucun doute.
• Calculez le juste prix
de votre kayak >>>
• Bien acheter sur le Bon Coin
avec 10 conseils utiles >>>
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